2000
On perd presque tout. Burn-out et trop d’intérets différents nous amènent à un crash qui établit un nouvel ordre dans nos têtes.
Photo: Anna Neumann
1999 - Paris !
Nous partons pour notre première petite tournée française à Paris: Batofar, Radio Nova, Divan du Monde, Flèche d’Or, Hôtel Concorde Saint-Lazare, Glaz’ Art et l’Elysée Montmartre. Le label Buda musique s’intéresse à nous et nous, on s’intéresse de plus en plus à la France…
En Allemagne on publie notre deuxième CD, »Wer ist das?« = Qui c’est?
[hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/06-maxglaner-wid.mp3"] MAX GLANER.
La record-release-party déborde tellement qu'on est obligé de donner le concert dans la rue. Le traffic sur la Kastanien Allee au Prenzlauer Berg s'écroule: trop de monde. Une fois de plus nous sommes très impressionnés par notre publique…
Photos: Bruno Fert, Andreas Riedel
1998 - L'Amérique !
South by Southwest Festival à Austin, Texas !
Nous sommes 19 musiciens sur scène !!! On joue à Scholzens Biergarten et pour l'inauguration avant Nick Lowe…
On fait une excursion dans les marais de Louisiane et à Mamou. L’histoire d’Alice dans [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/12-hotelcazane-if.mp3"] HOTEL CAZANE est un souvenir de ce voyage… Ce hall qui en a vu de toutes les couleurs et le Club Zydéco »Richard’s« où on danse tard dans la nuit.
Quelques années plus tard on laisse revivre ce souvenir Zydéco: [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/14-hoyaka-if.mp3"] HOYAKA transforme le tradionel »Bernadette«, en une chanson avec des paroles en patois de la Hesse traitant de la philosophie locale.
Photos: Anna Neumann
1997 - Nous voulons tester nos limites
Avec 18 concerts on attaque Berlin le 17 octobre pour le »record du monde du maximum de concerts en 24h«: à l’aéroport de Tempelhof, au resto U de l’Université Technique à Charlottenburg, à la Amerika Gedenkbibliothek et la Markthalle à Kreuzberg 61, au Café Einstein, au Chamäleon et au Tresor à Berlin-Mitte; au Madonna et à la Rote Harfe à Kreuzberg 36, puis au Ex ’n Pop à Schöneberg et 8 d’autres concerts partout dans la ville.
Et nous enregistrons notre premier CD »Rock’n’Roll 13« au fameux Beat Studio à Berlin. Fameux parce que quasiment tous les groupes de Berlin y ont enregistré au moins une fois dans leur vie.
Un de nos morceaux préférés de cette époque: [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/13-kingarthur-13.mp3"] KING ARTHUR'S LIVER
Pour distribuer ce nouveau CD Kiki et Dirk vont de magasin au magasin pour convaincre les commercants de prendre quelques exemplaires … contre toute attente cela a beaucoup de succès …
Photo: ?
1996 - On choisit des morceaux qui s’aprennent vite
On cherche des mélodies que personne parmi nous ne connaît et on se rend compte que des morceaux aux titres cryptiques comme [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/03-bourreedite-13.mp3"] BOURRÉE DITE D’AURORE SAND (mélodie simple, accords simples et rhythmique à mesure d’un 4/4) deviennent de vraies »tubes de danse«.
Dans le film »8 1/2« de Fellini, on découvre derrière le bruissement de la mer [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/08-saragina-wid.mp3"] SARAGINA RUMBA, une mélodie qui nous est chère et de laquelle on n’arriverait plus à s’échapper…
Notre salle de répétition devient trop petite. Nous commençons à répéter en publique sur une péniche à Kreuzberg…
Photos: Andreas Riedel, Anna Neumann
1995 - 17 HIPPIES, c'est le nom qu'on se donne
Personne ne sait vraiment pourquoi dix-sept et pourquoi hippies. Mais il est bien d’avoir un nom qui est là comme un panneau indicateur d’un lieu qui dit où on est. Personne ne se fait une idée de ce qui se trouve derrière ce panneau et personne ne pense à ce qu’on y fait exactement ou ce que les 17 HIPPIES pourraient devenir un jour.
Un de nos premiers morceaux s'appelle [hip-audio mp3="http://en.17hippies.de/wp-content/uploads/sites/2/2017/05/04-valseacadet-13.mp3"] VALSE À CADET.
On se rencontre chaque semaine et chacun de nous jouent, si possible, un instrument différent que celui qu’il joue d’habitude. C’est ainsi qu'on en est arrivé à un ukulélé, un banjo, une conemuse ou un accordéon – et non pas une basse, une guitare électrique, une batterie et un piano. On redécouvre l’immédiateté du son acoustique, qui nous surprend par son caractère direct lorsqu'on on joue ensemble.
L’idée est devenue: jouer partout et «unplugged». PARTOUT !!!
Photos: Privat